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segunda-feira, 30 de novembro de 2015
domingo, 29 de novembro de 2015
On est dans la nuit du 9 au 10 Thermidor, les troupes de la Convention ont investi l'Hôtel de Ville où les Robespierristes se sont réfugiés. Augustin Robespierre (le frangin donc) préfère sauter par la fenêtre. Il ne se tuera pas mais sera salement blessé.
Paris, Vème - L'ensemble 10 et 10bis, appelé hôtel Rateau est un bâtiment dû à l'architecte Lucien Hesse (1866-1929) construit en 1910-11. Il présente une curieuse architecture avec des fenêtres en ogive surprenantes et de légères avancées surmontées de balcons. Les ferronneries sont de très belle qualité en particulier celle des portes d'entrée.
PARIS se prepare pour la COP21 et rend hommage aux victimes du 13 novembre
Les drapeaux français seront de sortie vendredi lors de l'hommage aux victimes des attentats de Paris et de Saint Denis.
Sans drapeau, plusieurs Français ont dû trouver des astuces: ils ont utilisé ce qu'ils avaient sous la main pour se mettre aux couleurs de la France !
Detroit - Liste de tout ce que je vois de la fenêtre de ma chambre
REID BUILDING, THE GLASGOW SCHOOL OF ART
Glasgow, United Kingdom
The Reid Building is in complementary contrast to Charles Rennie Mackintosh’s 1909 Glasgow School of Art - forging a symbiotic relation in which each structure heightens the integral qualities of the other. A thin translucent materiality in considered contrast to the masonry of the Mackintosh building - volumes of light which express the school’s activity in the urban fabric embodying a forward-looking life for the arts.
© Henry Talbot, Carol Jerrems, 1973
Celui qui regarde du dehors à travers une fenêtre ouverte, ne voit jamais autant de choses que celui qui regarde une fenêtre fermée. Il n’est pas d’objet plus profond, plus mystérieux, plus fécond, plus ténébreux, plus éblouissant qu’une fenêtre éclairée d’une chandelle. Ce qu’on peut voir au soleil est toujours moins intéressant que ce qui se passe derrière une vitre. Dans ce trou noir ou lumineux vit la vie, rêve la vie, souffre la vie.
Par delà des vagues de toits, j’aperçois une femme mûre, ridée déjà, pauvre, toujours penchée sur quelque chose, et qui ne sort jamais. Avec son visage, avec son vêtement, avec son geste, avec presque rien, j’ai refait l’histoire de cette femme, ou plutôt sa légende, et quelquefois je me la raconte à moi-même en pleurant.
Si c’eût été un pauvre vieux homme, j’aurais refait la sienne tout aussi aisément.
Et je me couche, fier d’avoir vécu et souffert dans d’autres que moi-même.
Peut-être me direz-vous : « Es-tu sûr que cette légende soit la vraie ? » Qu’importe ce que peut être la réalité placée hors de moi, si elle m’a aidé à vivre, à sentir que je suis et ce que je suis ?
© Charles Baudelaire, « Les fenêtres », Petits Poèmes en prose, édition posthume 1869
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